• Ma vie

    Je suis né dans un bonne famille, 2 parents qui jusque alors s'aimaient, une sœur de 2 ans mon aînée, une maison de taille respectable, juste ce qui convient a une petite famille de 4 personnes dans une banlieue plutôt calme.

    Mes grands parents s'occupaient bien de moi et de ma sœur, de manière conflictuelle,

     nos relation semblaient voué a un parfait bonheur.

    Je me souviens avoir toujours aimé le savoir, l'histoire, le monde.

    Je revois encore mon père me parler de ces pays lointain, de ce Napoléon, de Clovis, des rois et des reines du bout du monde, de trésors enfoui et perdu, qui, à cet âge où l'on découvre innocemment le monde pour la première fois enflamme les rêves.

    Je rentrais a l'école maternelle sans peur, sans crainte, bien entendu je m'aperçu très vite que je perdrai mon temps parmi ces être sans valeur, mais comment savoir a 4 ans que ces être ne valent pas la peine d'être côtoyé.

    J'appris vite tout ce que l'on avait a m'apprendre, recherchant bien plus, je me suis dès lors détaché en partie des autres, bien sur je me bagarrai avec les jeunes de mon âge.

    J'eu très vite l'impression que ceux de mon âge ne répondraient pas a mes attente, a l'âge de 4 ans je traînai avec de plus vieux que moi.

    J'appris a lire dès la 2eme section mais gardais secret ce savoir, mes parents refusaient de me laissé lire pour que je ne prenne pas trop d'avance, pour que je reste a ma place.

    Ce fut de douces années d'innocence, de plaisir simple, comme je regrette ces années d'insouciance.

    Et puis le monde des « grand » ceux qui savent, toujours égal a moi même je me fis remarqué, je savais faire des division avant même de finir mon CP, mais lorsque l'on me proposa a la classe supérieure ce fut un refus catégorique, ma sœur ne l'avait pas fait, dans le monde de ceux qui m'élevaient seul l'égalité comptait.

    Alors je continua a m'élevé, a me traîner.

    Même chose les années suivantes. On me  proposa a plusieurs reprise de passé des tests pour rentré en école de surdoué... peut être a tord d'ailleurs. Je m'ennuyai en cours, a savoir toujours plus que les autres je ne cherchais pas plus loin, j'appris par moi même a connaître le monde qui m'entourait, a regardé vivre ce monde autour de moi.

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    Les conflits me passionnaient, quelle crise je fis a mes parents lorsque j'appris que la guerre du Golfe était fini alors que je n'avais même pas eu le temps d'en apprendre l'existence,  puis vint le temps ou j'appris les noms, les dates. Je connaissais tout sur le bout des doigts, je faisais même des exposés à mes petits camarades.

    CM1 la pire prof de ma vie, une vrai peste qui refusai mon savoir et la possibilité quelle ne m'apprennent rien. Je refusais de comprendre, ce fut aussi l'époque de mes premières déceptions. La cour entière semblait ligué contre moi, je fut battu a de nombreuse reprise par mes camarades, a 20 contre 1 a cet age aucune chance ne reste. Je fut brimé, rabaissé, mon orgueil survécu la douleur et la paranoïa apparu  a cette époque. Mon arrivé au collège fut rude mes parents séparaient, triste époque ou pour évité les brimades je ratai exprès mes contrôle, je manquai de peu le redoublement, je me méfiai de tout, n'aimai personne, ne croyait plus en rien.

    Tout ce que l'on m'avait appris s'envola, je refusai ce monde et se savoir, tout ce qui m'avait fait mal je le rejetais.

    La médiocrité semblait être la règle ici bas, je laissai le temps faire son œuvre et me conformais a ce monde. Mais restait habillé à ma façon, triste orgueil qui me refusais le droit de m'habiller comme les autres à une époque où la différence se paye encore par le sang et les bleus. Je n'eu que des déception amoureuse, ces relation recherché pour se conformé au autres également. Je reculais refusant ce savoir qui ne m'apportait aucune consolation, que seul mes parents en qui je n'avais plus aucune confiance croyaient.

    Longue furent les souffrances de ces années qui comptèrent comme les pires de mon existence. Mon intelligence ne servant a rien je la refusais. Lentement et sûrement mon niveau recula, et si j'en étais si ce n'est plus que détaché, ravis.

    Vint le lycée, a quelle douce épopée ou j'appris a m'aimé a m'accepté mais laissant le savoir en suspens. Mon corps accepté je fini par accepté l'esprit toujours aux aguets et dont je pouvais enfin être fier, et obtenir du respect grâce a lui.

    Premier amour déçu, première vrai souffrance, tentative de suicide ? bien entendu a 2 reprises et alors ? La vie continu, et j'explorais ce monde avec un regard neuf. J'appris a tout savoir tout connaître.

    Les cours me saoulaient toujours autant, seul le plaisir comptait à cette époque.

    Je fis de nombreuse erreur de jugement que je raconterais plus tard et que je regrette amèrement aujourd'hui.

    Eté de perversion, de libertinage, de flirt et d'homosexualité. Totalement et heureusement accepté. L'année repris, j'avais redoublé, a force de chercher à être médiocre je l'étais devenu, année perdu ne compte guère a cet âge ou l'on croit avoir la vie devant soit, lourde erreur je la paye aujourd'hui dans les larmes.

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    Et puis elle vint, elle me rendit ce que j'avais perdu : la fibre.

    L'envie de tout savoir, elle semblait si parfaite, si cultivé, elle m'expliqua que a ses yeux c'était la plus grande des richesses, elle je l'a crue, je ne croyais plus personne depuis tellement longtemps. Le choc fut terrible même si elle n'en perçu elle même pas la complexité et la puissance de ce trouble.

    Je compris ces erreurs que je conte aujourd'hui en ces lignes.

    Ah triste temps ou je ne savait pas ce que j'avais perdu, aujourd'hui je sais et j'ai retrouvé cette passion du pouvoir, de la solitude des sommets, je sais que je perdrais tout avant d'y arrivé, elle comprise car le temps ne se rattrape pas si rapidement, larmes de sang couleront mais le savoir ne sera plus jamais laissé en arrière.

    Rien ne restera derrière moi, plaisir sémantique, plaisir mystique, plaisir interdit, plaisir du savoir.

    Je n'oublierai jamais ceux a coté de quoi je suis passé mais ce qui me reste ne sera jamais perdu.

    Et je te promet a toi lecteur inconnu que je réussirais quoi qu'il m'en coute, tout sera sacrifié, sauf elle car elle est mon moteur et ma joie, aucune force au monde n'est plus puissante que celle qui m'attire a elle, c'est ainsi mais c'est grâce a elle si je deviens quelqu'un. ;

    Elle et moi.

    Ambition destructrice ?

     

    ps: n'ayez crainte si vous sentez une impression de suffisance, je sais ce que je vaux.

    Je l'ai trop longtemp refusé

    ici, au moin, je peux le clamé haut et fort.


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